21 juin 1943 : la chute de Jean Moulin

Le 21 juin 1943, Jean Moulin tombait, ainsi que d'autres résistants, dont Raymond Aubrac, dans le piège de Caluire. Arrêté, torturé, il succombera quelques jours après son arrestation. Du déroulement des faits à l'analyse des historiens, voici une sélection d'articles qui éclairent les causes et les circonstances de cette tragédie.

Les ombres de Caluire

Le coup de filet opéré par la Gestapo le 21 juin 1943 est l'aboutissement d'une longue traque – et le point d'orgue des dissensions mortifères de la Résistance.

Moulin, icône “post mortem”?

La mort du chef de la Résistance ne fut pas pleurée par tous ses pairs. Loin de là. Même après-guerre, l'action et la personnalité de Moulin ont divisé ses anciens compagnons d'armes et les historiens. Revue de détail.

Caluire: les dessous d'une arrestation

Le 21 juin 1943, des membres de l’Armée secrète, dont l’unificateur de la résistance, se sont donné rendez-vous à Caluire. Une réunion ultra secrète, dont pourtant la Gestapo n'ignore rien… Revivez cette journée heure par heure.

Ma rue sous l’Occupation

Historia consacre son dossier d’avril à Ma Petite France, le dernier livre de Pierre Péan, sous-titré « Sablé-sur-Sarthe. Chronique d’une ville sous l’Occupation ». Pour compléter cette éclairante enquête, les ressources documentaires de l’Institut historique allemand sur cette période se révèlent très instructives. En particulier, une remarquable cartographie de la France occupée.

Une ville française sous l’Occupation

Sablé-sur-Sarthe, sous la botte nazie, est un microcosme représentatif de toutes les villes moyennes sous l'Occupation, ainsi que la décrit Pierre Péan, natif de Sablé, dans son dernier livre, Ma Petite France. Historia en publie dans ce numéro exceptionnel les bonnes feuilles, assorties d'une interview de l'auteur. Un numéro à retrouver en kiosque à partir du 23 mars et sur la boutique en ligne.

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