Le cidre
Depuis l'ère gallo-romaine, on se pâme pour cet alcool de pomme.>
Depuis l'ère gallo-romaine, on se pâme pour cet alcool de pomme.>
Marianne, bonne mère, sait nourrir ses édiles et convie, le 22 septembre 1900, pas moins de 20 000 maires venus de métropole et d'outre-mer.
Visuel : ©Selva/Leemage
Dès la Renaissance, les papilles de nos concitoyens vibrionnent pour les mets italiens. Montaigne, entre autres gourmets, témoigne de cet engouement.
Longtemps célébrée pour l'abondance de ses denrées, la région a dû patienter jusqu'au XXe siècle pour que soit reconnue sa cuisine.
Dès le XVIe siècle, le couscous se fraie un chemin sur nos tables. Il s'impose au XIXe siècle et caracole désormais en tête des plats préférés des Français.
Dans l'entre-deux-guerres, la région s'ouvre au tourisme. Autant d'étapes que d'agapes, pour Curnonsky et consorts, les critiques de l'époque.
Entre terre et mer, un domaine y produit un nectar provençal.
C'est à un véritable examen de passage que sont soumis les convives de Brillat-Savarin... Et malheur à celui qui ne vibre pas devant la bonne chère !
Avant de garnir la carte des desserts, ces bouchées croustillantes et délicieusement fourrées se sont longtemps accommodées de saveurs salées.
Dans la cité des canuts, au XIXe siècle, les cuisinières des maisons bourgeoises s'émancipent et gagnent, à la tête de leur propre restaurant, leurs galons de chef.
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