LE SOLEIL SE COUCHE A L’EST
Quatre-vingts ans après le déclenchement de Barbarossa et l’emballement de la Shoah, l’Est continue à livrer ses sanglants secrets, qu’il s’agisse de reportages, de mémoire familiale ou d’amnésie villageoise…
Quatre-vingts ans après le déclenchement de Barbarossa et l’emballement de la Shoah, l’Est continue à livrer ses sanglants secrets, qu’il s’agisse de reportages, de mémoire familiale ou d’amnésie villageoise…
En compagnie de Weber et de Maistre, valeurs sûres de la lecture procastinatoire, le président de Brosse et ses lettres d’Italie fait partie du top 10 de mes lectures abandonnées ou toujours remises à plus tard. Heureusement, pour découvrir Rome et Naples, voici des ouvrages aussi rusés qu’érudits…
Partons sur les voies, les pistes et les traces de l’un des plus beaux musées de Paris et de sa stimulante revue d’art et d’histoire…
Après la réouverture des cafés, voici qu’approche le retour des soirées électorales à la TV, avec les régionales (et départementales) 20 et 27 juin prochains. Vote des tripes, du cœur ou de la raison ? Nul doute que conneries politiques et cerveau reptilien feront, une fois encore, bon ménage…
Non, ils ne sont pas si fous ces Romains. Et les excès que leur prêtent aristocrates païens et auteurs chrétiens doivent être revisités à l’aune de nos connaissances sur la « psychologie des foules ». Sylvain Forichon nous mène sur les gradins du Circus Maximus assister à une course de chars. Et l’on découvre que chants, sueur et tremblements des supporters d’aujourd’hui ne datent pas d’hier…
Non, ils ne sont pas si fous ces Romains. Et les excès que leur prêtent aristocrates païens et auteurs chrétiens doivent être revisités à l’aune de nos connaissances sur la « psychologie des foules ». Sylvain Forichon nous mène sur les gradins du Circus Maximus assister à une course de chars. Et l’on découvre que chants, sueur et tremblements des supporters d’aujourd’hui ne datent pas d’hier…
Ingrate Germanie ! De nouvelles restrictions de circulation entravent les déplacements des travailleurs alsaciens transfrontaliers. Et pourtant… il y a à peine soixante-dix sept ans, on proclamait de l’autre côté du Rhin que « Colmar resterait allemande »…
Longtemps je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma lampe éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Bien fait pour eux »…
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