Derrière cette formule employée pour qualifier une féroce attaque verbale, pareille à une salve d'artillerie, se cache le feu de la guerre...

Les poètes célèbrent la jeunesse et conseillent de la cueillir avant qu'elle ne se fane et que les aléas du temps n'en altèrent cruellement la fraîcheur.

Plébiscités dans nos sociétés laïques, ces douze mois d'épanouissement personnel évoquent un très ancien rite décrit dans l'Ancien Testament.

Pour prévenir d'un danger imminent, on utilise cette interjection synonyme d'alerte, aussi familière que mystérieuse...

En anatomie ou en menuiserie, au propre comme au figuré, cette pièce remplit deux fonctions essentielles : l'assemblage et la cohésion.

Rivières de nectar, mets gratuits, siestes rémunérées... cette contrée-là ne connaît pas la crise ! Et en rêver permet de supporter le quotidien.

L'habit en question a disparu, mais la locution est restée. On le revêtait pour parer les coups ; elle sert dorénavant à porter l'estocade.

Une formule que l'on retrouve souvent dans la bouche des diplomates. Et pour cause : avec sa sonorité exotique, on est loin d'imaginer le pire...

La réputation du félin serait-elle surfaite ? Car c'est parmi les Argonautes, partis à la quête de la Toison d'or, que se cache celui qui voit tout...

Figure vengeresse, haineuse, infernale, elle ne sera que tardivement « apprivoisée », au XVIe siècle, sous la plume de William Shakespeare.