Benjamin Brillaud, alias Nota Bene, nous raconte avec sa verve habituelle l'histoire d'un mur un peu particulier et parfaitement inutile contre un ennemi invisible, la Peste.
Parmi les trésors disponibles dans Gallica, bibliothèque numérique de la BnF et de ses partenaires, figure cette photographie du Salon de l’automobile en 1912.
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Un peuple et son roi, le film de Pierre Schoeller (sortie en salle le 26 septembre), met en scène les grandes heures de la chute de la monarchie à travers le soulèvement populaire. Historia prolonge et élargit son propos. Comment les sujets de Louis XVI en sont-ils arrivés à se détacher de leur souverain au point de le haïr et de le décapiter ? Au point de devenir, pour la première fois, des citoyens ? Un dossier éclairant, signé des historiens de la Révolution Olivier Coquard, Hervé Leuwers, Thibaut Poirot, Jean-Clément Martin et Guillaume Mazeau. Disponible en kiosque et sur historia.fr
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Georgette Elgey est l’historienne du quotidien, des succès et des échecs de la IVe République. Elle a consacré à cette œuvre cinquante ans de sa vie, et six épais volumes, soulagée d’en avoir terminé en 2012. Cet ensemble est réédité, avec la collaboration de l’historien Matthieu Rey, dans la collection Bouquins de l’éditeur Robert Laffont.
Comme les huit milliards d’euros qui constituent l’enveloppe du plan pauvreté annoncé par Emmanuel Macron.
À l’heure où le nazisme réapparaît à visage découvert en Allemagne, lisez ce livre de la journaliste de France 24, Stéphanie Trouillard, qui tire de l’oubli son « oncle de l’ombre", l’un des nombreux et modestes soldats de la Résistance intérieure qui ont contribué, pendant la Seconde Guerre mondiale, à libérer la France et l’Europe de l’hydre brune. Une longue enquête mémorielle et historique, racontée à la manière d’un reportage.
Richard Ferrand est le nouveau président de l’Assemblée nationale. Mais d’où vient le surnom du siège qu’il va occuper ?
Parmi les Poilus de la Première Guerre mondiale se trouve un contingent venu de la lointaine Inde britannique. Appelés par les Français, « les Hindous », ces soldats, dont plus de la moitié étaient musulmans ou sikhs, ont fait à l'époque forte impression. L’ouvrage de Claude Markovits les tire d’un injuste oubli.
Le président de la République a reconnu ce jeudi 13 septembre la responsabilité de l’État dans la disparition du jeune mathématicien, militant communiste et anticolonialiste, arrêté le 11 juin 1957 pendant la bataille d’Alger et jamais retrouvé, du fait d'un "système légalement institué" alors en Algérie par la France. Emmanuel Macron a demandé pardon à sa veuve qui n’a jamais cessé de se battre pour faire reconnaître la vérité.
Nombreux sont les appelés qui ont témoigné de l’usage des « interrogatoires musclés », l’autre nom de la torture. Retrouvez leurs témoignages dans « Historia » n°856, daté d’avril 2018, consacré aux "Paroles de soldats".
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