TOULON, l'arsenal de charme
Entre Méditerranée et Provence, la cité vit au rythme des aventures maritimes de la France. Choisie pour sa rade sans égal, elle possède un superbe patrimoine. Et cultive un art de vivre qui fait bien des envieux...
Entre Méditerranée et Provence, la cité vit au rythme des aventures maritimes de la France. Choisie pour sa rade sans égal, elle possède un superbe patrimoine. Et cultive un art de vivre qui fait bien des envieux...
Accablé de malheurs, plus seul que jamais, Louis II se réfugie au coeur des forêts de son enfance. De cette retraite va naître un audacieux palais, sublime saillie d'un sombre éperon rocheux, entièrement dédié à la gloire des chevaliers d'antan.
Ducs d'Aquitaine puis rois de France et d'Angleterre ont favorisé ses marchands. Mais elle est entrée dans l'Histoire en restant attachée à sa foi et confiante en ses murailles. Son patrimoine architectural témoigne encore aujourd'hui de son art de la guerre... et du commerce !
Au carrefour des cultures alsacienne, germanique et française, l'ancienne Strateburgum connaît trois âges d'or exceptionnels, du Moyen Âge au début du XXe siècle. Un héritage historique, patrimonial et identitaire qu'elle a su préserver. Et valoriser, par-delà les siècles.
Des centaines de sépultures, dont certaines de l'époque médiévale, y ont été découvertes en 2012..
Malgré le rattachement de la province à la couronne de France, officialisé par l'édit de François Ier de 1532, la ville entend défendre son indépendance. Siège de cette résistance : le parlement de Bretagne et ses magistrats, soutenus, aux XVIIe et XVIIIe siècles, par la population.
Pour nos puissants voisins, le site offre bien des avantages. Il se trouve à proximité de la Méditerranée et sur le chemin qui conduit de Rome à la riche Hispanie. C'est donc là qu'il y a 2130 ans, ils décident de bâtir la capitale de leur nouvelle province en terre gauloise.
Entre mer et montagne, la seconde ville de l'Hérault est fièrement occitane. Elle connaît son âge d'or au XIXe siècle, mais cette prospérité est compromise par la crise viticole de 1907. La région s'embrase. Devenu un mythe, le mouvement s'inscrit dans la grande épopée biterroise.
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