Gérard Philipe : Un ange passe

Au cinéma et au théâtre, il fut Fanfan la Tulipe, Lorenzaccio, le Cid, le prince de Hombourg... mais il reste à  tout jamais le "prince d'Avignon" qui, aux côtés de Jean Vilar, voulut "élargir l'audience du théâtre" en ralliant le public populaire.

Il était un prince en Avignon ", chantait Esther Ofarim dans les années 1960. " Je suis né deux fois, confiait le "prince" Gérard Philipe à  Ciné Revue du 2 avril 1954. La première fois, le 4 décembre 1922, à  Cannes, où mes parents étaient hôteliers ; la deuxième en 1951, en Avignon où j'eus, grâce à  Jean Vilar, la révélation du vrai théâtre... " Vingt et un ans plus tard, le 13 mai 1972, le maire de Cannes dévoilait, en compagnie des responsables du festival du film, une plaque avenue du Petit-Juas : " Ici se trouvait la villa les Cynanthes qui fut son berceau. Ici, la ville de Cannes veut perpétuer le souvenir de l'immortel acteur, symbole de la jeunesse de partout et de toujours. " Est-ce parce que le comédien est mort à  39 ans que son image ne vieillit pas ?

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