Tragique Argentine

Lors de son coup d'Etat du 24 mars 1976, la junte argentine supprime toutes les institutions démocratiques. Sous le commandement du général Videla, nouveau chef du régime, elle suspend les activités politiques, rétablit la peine de mort pour les actes " subversifs " et censure la presse. La répression se met en place : enlèvements en masse d'opposants 30 000 disparus, emprisonnements sans procès, tortures... Le 30 avril 1977, quelques femmes se rassemblent sur la Plaza de Mayo, au coeur de Buenos Aires, pour exiger des comptes sur la disparition de leurs enfants et petits-enfants. Ces femmes, surnommées " les Folles de Mai ", défient les militaires en manifestant en silence chaque jeudi. L'initiatrice du mouvement, Azucena, décidée à  ce que " tout le monde ne puisse plus faire semblant de ne pas savoir ", le paiera de sa vie.

[...]
Pour lire l’intégralité de cet article
EN REGARDANT LA PUBLICITÉ D'UNE MARQUE

Newsletter subscription form block

Inscrivez-vous à notre newsletter