Toujours dignes, les Anglais !

Un enfant de Plymouth raconte ses nuits de cauchemars dans les abris, quand sa ville était attaquée par les Allemands. « Le plus effrayant était d'écouter le sifflement de plus en plus fort des bombes. »

Churchill, à peine intronisé au 10 Downing Street, l'hôtel Matignon britannique, ne farde pas la réalité à ses compatriotes : « Je ne vous offre que sang, peines, larmes, sueur. » Il a raison. Le 25 juin 1940, avec la déconfiture française et l'armistice signé par le maréchal Pétain, les Britanniques se retrouvent seuls. Seuls, face à deux terribles dangers : l'invasion et les bombardements.

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