À se brûler les ailes

1534. Dans une Allemagne secouée par la Réforme, le jeune Ruprecht, soldat de retour de guerre, croise pour son malheur Renata, une mystérieuse jeune fille ; Agrippa de Nettesheim, alchimiste et philosophe ; ainsi qu'un étrange chien noir habité par le démon. Valéri Brioussov, chef de file de la première école symboliste russe, nous livre une somme historique pleine de bruit et de fureur, un théâtre érudit et baroque.

L'Ange de feu, de Valéri Brioussov, (Éd. l'Âge d'homme, 384 p., 20 euros).

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