Réfugiés nazis : l'Argentine à la recherche des preuves disparues
Dix ans après la décision de l'ex- président Carlos Menem d'ouvrir les archives officielles relatives à la présence d'anciens nazis en Argentine, Buenos Aires s'attaque de nouveau à ce sulfureux dossier. Cette fois, le gouvernement de Nestor Kirchner, via le ministère de l'Intérieur, ordonne à l'Institut national contre la discrimination Inadi de se pencher sur " la destruction ou la dissimulation de documents faisant référence à l'immigration supposée de criminels de guerre ".