Qu'en dira-t-on ?
Méfions-nous des mauvaises réputations. Babylone n'en a que trop pâti. À tort. À commencer par la Bible et la parabole de la tour de Babel : une langue universelle... et des tas de vices. Symbole de toutes les turpitudes, la cité se retrouve dans l'Apocalypse de Jean traitée de « mère des prostituées et des abominations de la terre. [...] Réjouis-toi de sa ruine, Ciel ! » Les prédicateurs de la Réforme, notamment Martin Luther, ne sont pas en reste, qui utiliseront la Babylone pour vilipender Rome et son pape exécré.