Confidentiel
Touchés par la crise, des musées italiens « vendent » leurs chefs-d'oeuvre sous la forme d'avatars numériques certifiés et infalsifiables, surfant sur l'engouement pour l'art digital. Une collectionneuse est ainsi devenue, pour 140 000 euros, propriétaire d'un exemplaire, officiel mais virtuel, du Tondo Doni de Michel-Ange, conservée à la galerie des Offices, à Florence.
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