Monaco : la saga Grimaldi

Depuis plus de sept siècles, ils se succèdent à  la téte de la principauté

E tat " fragile ", pronostic vital " réservé ", Rainier III dans un état de santé " préoccupant ", le prince " au plus mal "... Tous ces qualificatifs, utilisés dans les communiqués les jours précédant le 31 mars, date de la nomination à  la régence du prince Albert, indiquent mieux que tout dans quel état se trouvait la monarchie monégasque ces deux dernières années. Un prince âgé, autocrate, une communication archaïque destinée à  masquer une vérité connue de tous et un entourage effrayé retardant le plus possible la passation de pouvoir entre un père et son fils, de peur de déplaire au prince régnant atteint par la maladie - malaises cardiaques, problèmes pulmonaires, cancer... - mais toujours là .

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