MÉMOIRES CROISÉES ET TOUTES DOULOUREUSES
Cher Benjamin Stora, je vous lis avec beaucoup de plaisir et d'intérêt. Notamment votre dernier livre, Mémoires algériennes. J'apprécie la façon dont vous gérez cette question des mémoires croisées, toutes douloureuses, qui ne peuvent se réconcilier qu'à partir de la reconnaissance des faits, libérée de tout conformisme ou arrière-pensée politicienne ; bref, d'une quête de vérité.
Pour lire l’intégralité de cet article
Déja abonné ?
Identifiez-vous
EN REGARDANT LA PUBLICITÉ D'UNE MARQUE