Les frondeuses jouent aux héroïnes

A l'heure où le pouvoir royal vacille, une poignée d'aristocrates se lance dans la bataille politique. Par goût du risque, certes, mais surtout pour sortir de l'ennui que leur impose leur condition.

Dans tous les récits sur la Fronde, on évoque les combats, les chevauchées, les exploits de ces muses guerrières présentés, entre autres, dans le Journal des guerres civiles de Dubuisson-Aubenay 1590-1652 : Mme de Guénégaud, Mme Le Feron, Mme de Lesdiguières, Mme de Chaulnes, la princesse de Carignan, la présidente Tambonneau, Marie Bonneau, dame de Miramion.

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