Le Sacre de l'enfant mort

Alors que le musée du Louvre célèbre le bicentenaire du sacre de l'Empereur par une exposition autour du célèbre tableau de David, un jeune scénariste, dialoguiste plein d'imagination et de sensibilité artistique, fait revivre le peintre officiel de l'Empire. Il évoque les deux grandes passions de sa vie, Robespierre et Napoléon, et présente un David vieillissant, exilé à  Bruxelles par la Restauration pour avoir voté la mort du roi, s'attelant une seconde fois à  la peinture de cette cérémonie historique. Tout ce passage romancé sur le mystère de la création est rendu très vivant par le visage joufflu et rubicond du petit Napoléon Charles, fils de la reine Hortense, dans lequel l'artiste va petit à  petit reconnaître non l'héritier déjà  souffrant au visage émacié qu'il aurait dà» représenter, mais le petit garçon qu'il était lui-méme et dont l'enfance s'est arrétée net sensiblement au méme âge que l'enfant du sacre.

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