Le point de vue de Jacques-Olivier Boudon, président de l'Institut Napoléon
Ce qui lui manque, c'est d'avoir soigné son image
Il est de bon ton de dénigrer Talleyrand, d'opposer au génie de Napoléon la perfidie, voire la rouerie de celui qui fut son principal ministre des Relations extérieures. Que n'a-t-on écrit sur la trahison du prince de Bénévent qui lâche l'empereur en mars 1814, entraînant à sa suite la majeure partie des élites du pays ?
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