L'autre histoire du harem
C'est un antre protégé. Et non ce lupanar luxueux à quoi est assimilé, encore aujourd'hui, le sérail. N'en déplaise à Ingres, les mille et une pièces de Topkapi ne se résument pas aux vapeurs érotiques du « bain turc ». Le palais des sultans ottomans est avant tout l'un des centres névralgiques de l'empire. Beaucoup en parlent, peu y ont pénétré. Avec ce dossier, c'est un coin du voile que nous allons lever.
Pour lire l’intégralité de cet article
Déja abonné ?
Identifiez-vous
EN REGARDANT LA PUBLICITÉ D'UNE MARQUE