L'école de la vie
Longtemps, Lazare Ponticelli n'a pas parlé de son expérience de poilu. Mais, en mémoire de ses camarades de tranchées, il s'est donné pour mission de témoigner, comme ici, en 2002, dans un collège du Kremlin-Bicêtre. Toujours, il racontait l'absurdité de la guerre, où l'on tire sur des personnes qu'on « ne connai[t] même pas », qui ne vous ont rien fait.
Pour lire l’intégralité de cet article
Déja abonné ?
Identifiez-vous
EN REGARDANT LA PUBLICITÉ D'UNE MARQUE