HENRI IV, la force de séduction

Les impôts oppressifs, le passé huguenot ? Oublié. Les maîtresses dispendieuses ? Pardonné. À sa mort, le Béarnais devient le « bon roi Henri », une image que cet excellent communicant, pacificateur et redresseur du royaume, aura cultivée de son vivant. Voici comment.

Ce monarque aimable réunit, à lui seul, toutes les qualités d'un souverain populaire. On vante son courage, sa tolérance, sa simplicité bienveillante, ses succès féminins. Une chanson du XIXe siècle ne lui prêtait-elle pas le « triple talent de boire et de battre, et d'être un Vert Galant » ? N'est-il pas l'homme de la « poule au pot », du « panache blanc » et de l'édit de Nantes. Voire. Car ce portrait flatteur d'Henri IV tient sans doute davantage de la propagande que de la vérité.

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