Hathor, c'est l'extase

L'une des plus anciennes divinités égyptiennes s'assimile peu à peu, sous l'influence des Ptolémées, à l'Aphrodite grecque, comme déesse de la Joie, de l'Érotisme et de l'Insouciance. Sa fonction de mère des dieux et des hommes vient de son origine cosmique.

Superbe dans son isolement, loin du monde profane et de son agitation, quelques palmiers, la montagne au loin, les pierres d'éternité, le temple de Denderah dresse sa masse dans le silence du désert. Seul le soleil égaie les immenses surfaces planes et leur donne vie. Étrange monument, à la mesure des mystères qu'il contient, dont l'architecture contraste fortement avec les idées religieuses qu'il symbolise. Cet édifice d'époque ptolémaïque, donc tardif, est tout entier dédié à l'Aphrodite égyptienne, Hathor, déesse de l'Amour, de la Grâce, de la Naissance et de la Résurrection.

Hathor est une divinité double

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