Grossouvre, Mazarin chez Mitterrand

Il connaissait mieux que quiconque tous les arcanes de la " mitterrandie ". Pendant près de quarante ans - il se suicide en avril 1994 - et en dépit de sa disgrâce, François de Grossouvre a été le gardien des grands et des petits secrets présidentiels.

Mazarine et " Mazarin ". La première, pendant longtemps fille cachée du Président, entre dans la vie publique après que le second, ami, financier et confident de son illustre géniteur, la quitte. Mais les deux cultivent des liens certains : on raconte ainsi que François de Grossouvre a versé fin 1981 une somme de 500 000 F, prélevée sur les fonds secrets de Matignon, pour empécher la publication dans l'hebdomadaire d'extréme droite Minute d'un reportage photo révélant l'existence de Mazarine Pingeot. Plus ludique : cet aristocrate distingué, grand cavalier devant l'éternel, a appris à  la demoiselle à  monter à  cheval.

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