FRANCOIS IER ET HENRI II

François Ier va développer une certaine idée de l'absolutisme à la française qui ne disparaîtra qu'à la Révolution de 1789. Lui-même, son fils Henri II et ses petits-fils vont devoir faire face aux guerres de religion qui divisent la France avant qu'une sorte de cohabitation imaginée par Henri IV ne ramène une paix fragile, aménagée à leur façon par Richelieu et Louis XIII. Louis XIV va étendre sur presque tout le XVIIe siècle ses grandes ailes de guerrier, de bâtisseur et d'amoureux, avant que l'Etat, toujours menacé de banqueroute, cherche son équilibre dans un XVIIIe siècle des Lumières où naît l'espoir d'une société nouvelle garantissant la liberté, l'égalité et la fraternité. [...]

Francois Ier est fascine par l'Italie

La Renaissance va, grâce à lui, s'épanouir en France. Mais il va devoir affronter les premiers troubles religieux : le protestantisme naissant se fait conquérant. C'est le début des guerres de religion qu'Henri II aurait aimé éviter - mais il meurt au cours d'un tournoi. Catherine de Médicis, avec un courage pas toujours inspiré, va tenter de mettre tout le monde d'accord, sans succès. Ses trois fils, tous les trois rois - François II, Charles IX et Henri III -, n'y pourront rien non plus. Il faut qu'Henri IV, conduisant une politique habile, se convertisse au catholicisme pour que les querelles s'apaisent.

Découvertes et autres invasions

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