François André Vincent, dans l'ombre de David

Le musée des Beaux-Arts de Tours, jusqu'au 19 janvier, puis le musée Fabre de Montpellier, à partir du 8 février 2014, mettent à l'honneur ce précurseur du romantisme, éclipsé à l'orée du XIXe siècle par son célèbre rival.

Certains artistes passent à travers les mailles du filet de l'histoire de l'art. Pour une raison ou pour une autre, ils n'atteignent pas la gloire posthume à laquelle ils auraient pu prétendre. C'est le cas par exemple de François André Vincent, considéré, dans les années 1780, comme le grand rival de Louis David. Au point que ce dernier lui fait encore de l'ombre. Mais, grâce aux recherches de quelques passionnés, dont Jean-Pierre Cuzin, ancien conservateur général du département des peintures du Louvre, commissaire de l'exposition du musée des Beaux-Arts de Tours et auteur d'une monographie sur le peintre, il accède à la notoriété qui lui est due.

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