
Une histoire ? Non, une tragédie...

Deux ans après Algérie, 1830-1914, Jacques Frémeaux livre le deuxième volet de sa grande synthèse sur l'Algérie coloniale. Le constat est glaçant : « Européens » et « indigènes », étaient animés par la crainte de l'autre et par le fantasme de son éradication. Faute de réformes audacieuses entreprises à temps, ils ne pouvaient qu'en venir à une confrontation à l'issue radicale. Née dans la violence, l'Algérie française allait périr dans la violence.
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