
PARIS EST UNE FÊTE

Fitzgerald, Dos Passos ou Hemingway avaient donné le ton de la Génération perdue, venue à Paris dans les années 1920. Après 1945, les Américains retournent dans la capitale grâce à une loi qui assure aux soldats démobilisés le financement de leurs études. Élisa Capdevila décrit ces années bohèmes où se retrouvent artistes (Joan Mitchell), écrivains (Norman Mailer) et cinéastes (Jules Dassin), leurs lieux, leurs habitudes et ce qu'ils ont tiré de leur séjour mais aussi apporté à une Ville Lumière à l'attractivité déclinante.
Des Américains à Paris, d'Élisa Capdevila (Armand Colin, 360 p., 17,90 E).