C 'est un grand peintre que ce Casanove ; il a de l'imagination, de la verve ; il sort de son cerveau des chevaux qui hennissent, bondissent, mordent, ruent et combattent ; des hommes qui s'égorgent en cent manières diverses... Il sait aussi ordonner des compositions plus tranquilles... et quelques-unes des parties les plus importantes du technique ne lui manquent pas ". Ainsi Diderot juge-t-il les oeuvres de François Casanova, au Salon de 1765.