Acte I...
Au commencement, ou presque, était le verbe. Vite déclamé. Ce n'était pas encore la grand-messe soporifique de bon nombre d'avant-premières parisiennes d'aujourd'hui, où l'on se dit que le théâtre est (lui aussi) le lieu où les pires personnes occupent les meilleures places. C'était d'emblée un enjeu spirituel, et ce, dès la Grèce antique, avec des cérémonies religieuses en guise de prologue aux actes successifs des siècles à venir.
Pour lire l’intégralité de cet article
Déja abonné ?
Identifiez-vous
EN REGARDANT LA PUBLICITÉ D'UNE MARQUE