A Constantinople, Byron admire... Byron

En 1809, le poète anglais s'embarque pour la Grèce, puis la capitale ottomane. Mais l'Orient le déçoit et, des populations et des sites, il ne livre que des jugements laconiques. Sa seule satisfaction : sa traversée des Dardanelles à  la nage.

Enfin partis pour la Turquie/Dieu sait quand nous reviendrons/ Vents fous et tempétes sordides/Pourraient briser notre navire/Mais comme la vie n'est que plaisanterie/Et qu'avec l'autorisation des philosophes/Rire demeure la meilleure des activités/ Alors rions, comme je le fais maintenant/De toutes choses rions... " La lettre de lord Byron date de l'été 1809. Le lord rieur a l'âge approprié, 20 ans. Un titre de baron, de solides études à  Cambridge où, déjà  atteint par le prurit bouffon, il a proposé l'admission de son ours et d'ambitieux espoirs littéraires ; à  compte d'auteur certes, le lord a publié ses premières poésies à  18 ans : Heures de loisir ; Bardes anglais et Critiques écossais . Le 2 juillet 1809, il entame son périple pour la Turquie, en s'arrétant notamment au Portugal, puis en Espagne.

[...]
Pour lire l’intégralité de cet article
EN REGARDANT LA PUBLICITÉ D'UNE MARQUE

Newsletter subscription form block

Inscrivez-vous à notre newsletter